Le projet d’ontogénèse NOIA

1- Le processus d'accélération de l'évolution universelle.

Il est plusieurs fois fait mention sur ce site de ‘base génétique pour des espèces à venir’. Il est important de comprendre que dans ce plan global du GWS ou ‘Bouclier ailé de Dieu’, le processus d’évolution de la conscience et de la vie dans l’univers est dans cette infime partie qui est la nôtre, est prévu de s’accélérer.  Les planificateurs sont des entités qui sont arrivés à un tel degré de connaissances qu’ils ont la capacité d’interagir harmonieusement avec les lois de l’univers. ils sont devenus lesMaîtres du Jeu’.

Au début, le jeu (le processus évolutif de la vie) se déroule de lui-même à travers une infinité de combinaisons. Lorsque celles-ci se réalisent de façon harmonieuse cela donne des entités qui croissent normalement et accumulent progressivement de la connaissance et de la sagesse pour devenir finalement elle-même des ‘Maîtres du Jeu’ ayant la possibilité de changer les règles en vue de l’améliorer. C’est le cycle de l’évolution normale et progressive qui peut prendre des millions d’années  pour d’atteindre un niveau de civilisation très évoluée.

Malheureusement, les jeux de combinaisons sont parfois hasardeux et des pertes, des mutations, des catalyseurs perturbateurs externes et internes entrent en jeu. Il en résulte alors des civilisations qui au lieu d’avoir atteint un degré de maturité spirituelle leur permettant de voir l’autre comme un reflet de soi-même et de la Source, passent leur temps à se faire la guerre pour toujours plus de pouvoir et d’acquisition de ressources. Ça vous rappelle quelque chose…

Les 'Kadištu' ('les anciens assembleurs de vie') sont des races galactiques qui du fait de leur évolution de conscience très avancée, ont ensemencé collectivement et de façon bienveillante notre planète pour en faire une 'bibliothèque vivante'. De gauche à droite : un 'Sukkal' (race aviaire asexué - ancêtre des Aviens bleus), une 'Amasutum' (race reptilienne féminine), et une 'Urmah' (race félidée - ancêtre des Lyriens). D'autres races comme les 'Abgal' (race amphibienne de Sirius) ou Améli (race semi-éthérique), ont également participé à cet ensemencement originel créant ainsi la grande diversité des créatures sur Gaïa. Infographie : Myrdyn Aéliah - 2019

2- Les planificateurs ou 'assembleurs de vie'.

Dès que des êtres conscients arrivent à un niveau assez avancé de maturité spirituelle pour clamer haut et fort ‘nous sommes le créateur!’, et pour transcrire cette affirmation dans leur réalité, ils deviennent ‘Maîtres du Jeu et Maîtres du JE’. Ils prennent alors les choses en main et sont en mesure de modifier les règles cosmiques pour obtenir un jeu plus efficace, car ils fusionnent avec la Source et son désir/programme fondamental qui est la croissance illimitée. La Source pour se connaître, ‘s’est programmée’ dans une perspective de croître et d’engranger de l’énergie/information à travers les expériences de vie de toutes ses créatures, c’est là son ultime but. Il est possible de ne compter que sur une évolution ‘darwinienne’ par adaptation, c’est à dire à travers des catalyseurs extérieurs qui vont nous obliger à évoluer parmi lesquels la souffrance est placée en ‘pôle position’ des accélérateurs d’évolution. Cela est très peu efficace, très long et souvent très douloureux. L’autre solution est de prendre en charge cette évolution en incarnant une fonction qui permettra d’accélérer ce processus ascensionnel sur Gaïa et par résonance dans tout l’univers.

2.1. Rôle des planificateurs et comment le devenir.

Les planificateurs qu’ils soient d’origine galactique, intraterrestre ou humaine tels les ‘missionnés’ (ayant choisi une incarnation humaine pour aider à la réalisation du plan universel), sont au service de la Source Infinie et ont pour rôle d’ensemencer des planètes et de planifier la croissance de l’univers. Dans les temps anciens ils étaient nommés ‘Kadištu’ qui signifie ‘assembleurs de vie’ dans la langue akkadienne (langue éteinte proche du sumérien qui fut parlée en Mésopotamie plusieurs milliers d’années avant J.C). Ce terme signifiait aussi en akkadien ‘Sainte femme’, faisant en cela référence aux prêtresses de haut rang dédiées au culte d’Ishtar. Cette communauté de différentes races extraterrestres très évoluées unifiait et continue encore d’unifier, les espèces de notre univers au nom de ‘l’Infiniment Intelligent’ (Dieu), ceci en respectant le principe du libre-arbitre et de non-ingérence dans les affaires des autres civilisations moins avancées qu’elles.

Tant que la première conscience de planificateur n’apparaît pas dans une civilisation, ce sont des catalyseurs externes qui modulent l’existence de façon darwinienne par des combinaisons de souffrances/bonheurs. On reste là dans la cycle de la procréation et la survie propre à la 3ème densité. Notre planète Gaïa, un être macrocosmique vivant  et conscient de polarité féminine, qui est déjà bien engagée sur le chemin de la transition en 4ème densité, a la volonté de passer à autre chose et aspire à voir sa conscience croître de façon harmonieuse et lumineuse. Les créatures humaines orgueilleuses et inconscientes qui croient habiter un simple rocher perdu dans l’espace dont ils seraient propriétaires, ne seront bientôt plus en mesure de supporter sa vibration croissante et seront dans l’obligation de se conformer à cette nouvelle vibration ou de passer par le processus de la désincarnation.

Cette mort qui fait si peur et dont l’évocation est si taboue dans notre société, n’est en fait qu’un processus naturel de changement de densité pour continuer le processus avec un nouveau corps plus adapté ou sur une autre planète conforme à sa vibration spirituelle. Il est donc important de prendre conscience du privilège qui nous est donné de vivre cette existence incarnée, aussi éprouvante soit-elle, car cela participe à plan universel d’évolution inimaginablement grandiose. Voici ce que dit dans ce sens Soria, un collectif d’êtres ascensionnés (nos lointains ascendants) en provenance des Pléiades :

 ‘Vous avez donc une chance inouïe : celle d’avoir reçu l’autorisation de vous incarner durant une période exceptionnelle et tout à fait rare dans l’histoire du système solaire. Aujourd’hui, quelle que soit l’apparence physique que vous avez accepté de prendre, vous avez reçu le plus beau et le plus grand des cadeaux dans tous les univers : l’autorisation de vivre à l’intérieur d’un corps physique.’ ( p253 ‘l’Être Solaire’ – Soria Tome IV – Édition Ariane 2002).

2.2. La planification vue par le groupe ‘force, santé, vitalité’, planétaire (FSV).

Une fois que l’on a reconnu son ‘JE SUIS’ et pleinement pris conscience et intégré son immense potentiel créateur en tant fractal/fragment de la Source Infinie, il ne s’agit pas de se reposer sur ses lauriers mais d’établir une stratégie pour évoluer et croître dans cette nouvelle fonction.
L’objectif des ‘missionnés et missionnées’ du ‘groupe FSV’ devenus planificateurs et travaillant en tant que membres du ‘Gouvernail Synarchique Céleste’ ou GSV (alliance humano-galactique dédiée à l’ascension collective), va être de s’attacher prioritairement à dérouler un plan de planification en quatre phases.
 
Il va de soi que le déploiement de ce plan et le projet d’ontogenèse qui s’en suit, ne peut rencontrer une issue favorable que si la circuiterie neuronale de notre cerveau est adaptée à ce processus. Changer ses connexions et ses schémas neuronaux implique de cesser de papillonner et de collecter en permanence de nouvelles informations sans s’attacher à créer et s’orienter vers la croissance toujours et tout le temps. C’est en effet lorsqu’on impulse des projets, qu’on prend des initiatives, qu’on s’investit sans attendre qu’on vienne nous dire ce que l’on a à faire, que notre cerveau et que toutes nos énergies se réorganisent et développent de nouveaux circuits. Le domaine de la spiritualité est généralement pétri de bonnes intentions avec beaucoup de personnes sincères qui pensent selon les ‘standards’ admis, qu’il suffit d’être une ‘bonne personne’ pour ‘ascensionner’ ou ‘gagner son paradis’ en fonction de sa mystique ou de sa religion. C’est peut être possible mais un être ‘missionné’ qui investit le rôle de planificateur ne peut se permettre une telle disposition d’esprit. Il va tenter d’exprimer plus que la ‘mignonitude’ et mettre en route une intelligence et un mode de fonctionnement permettant à sa créativité de s’exprimer, d’en recevoir les fruits par la loi de l’attraction, puis engager et faire croitre ce cercle vertueux de façon exponentielle.
 
Il va également de soi qu’il est proposé ici, et uniquement proposé, une ligne directrice d’action dans cette ‘fonction planificatrice’, qui peut subir toutes les modifications et aménagements personnels par ceux qui aspirent à expérimenter cette fonction à très haute valeur ajoutée pour l’incarnation dans cet espace/temps présent. ‘Liberté, créativité, plaisir’, telle pourrait être la devise du processus qui vous est présentement offert sans rien attendre de vous.
Carte de Maxime Yannaïa - Jan. 2012.

En haut : de nombreuses tablettes sumériennes ont été découvertes représentant des Abgal (hommes poissons), évoquant dans la civilisation mésopotamienne des ‘Dieux sages’ qui avant le déluge, révélèrent aux hommes la science, les arts et les techniques. En bas : une carte réalisée avec ‘l’être intérieur’ en reliant des sommets de montagnes figurant un brin d’ADN croisant deux phrases ‘Ascension Sumérien’ et ‘Peuple Ascension’. Cela indique que ce peuple ancestral a vraisemblablement hérité d’une génétique particulière qui lui permit d’ascensionner et de transcrire sur des tablettes la véritable histoire de l’humanité. L’axe de ce brin d’ADN passe par trois endroits au Sud-Est et au centre de la France, très importants dans le processus ascensionnel à venir (voir onglet : ‘Vaisseau Atlantis-Shambalah’).

3- Le projet 'Numun Ontogenesis Implantation Aqualab' (NOIA) ou Numun 2.0.

Le projet NOIA en français ‘Laboratoire d’implantation ontogénétique Numum’, fait partie des cinq projets d’envergure du GWS project. Il est structuré en 4 phases suivantes :

  • Phase 1 : la technologie kadištu de ‘pêchage des grandes âmes’ Bit-Ra-Hem.
  • Phase 2 : la création parthénogénétique quantique des supports de manifestation ‘métahumains’.
  • Phase 3 : l’incubation quantique des ‘métahumains’ (Namlu’u version 3).
  • Phase 4 : l’accompagnement ontogénétique des Namlu’u 3.

Nota : les explications sur la genèse du projet NOIA ou NUMUN 2.0 à travers ses racines et son héritage historique, se situent après la phase 2.

3.1. Phase 1 : la technologie Kadištu de ‘pêchage des grandes âmes’  BIT-RA-HEM.

La première phase  proposée va d’être de réaliser des opératifs nommés ‘modules ascensionnels’ sur le champ morphogénétique (grille magnétique entourant notre planète représentant la somme des consciences humaines). C’est de cette façon qu’œuvrent les civilisations les plus avancées  en agissant puissamment et consciemment depuis les plans subtils jusqu’à la manifestation dans la densité matérielle et non l’inverse comme le fait généralement l’humanité. Comme il a déjà été évoqué, les Ks’il et Agarthiens faisant partie de l’alliance humano-galactique du GSC (voir chap. précédent), sont partie prenante de ce processus en tant que ‘coach’ et alliés. Ces modules ascensionnels sont systématiquement intégrés dans les méditations collectives et individuelles du ‘groupe FSV’,  notamment lors de l’utilisation de certains ‘outils d’actions de masse planétaire’ (voir onglet du même titre ou cliquez sur le lien). Ils ont la particularité d’être reliés à une très ancienne technologie de la conscience mise en place il y a 12 000 ans par les civilisations de 6ème densité que sont les Kadištu Sukkal (ancêtre des ‘Aviens bleus’ de l’Alliance des Êtres des Sphères – voir onglet: ‘Les alliances galactiques’) et les Kadištu Abgal (Amphibiens de Sirius).

3.1.1. Phase 1 – 1ère partie : les modules ascensionnels (préparation de la technologie Bit-Ra-Hem).

Les modules ascensionnels sont eux-mêmes constitués de deux parties distinctes mais complémentaires. D’une part, la fonction ‘permissivité’ et d’autre part, le couplage hypertorique‘ du champ Merkaba personnel avec le Merkaba planétaire’.

3.1.1.1. La ‘fonction permissivité’:

Il existe deux définitions de la permissivité dans le dictionnaire. La première est plutôt négative et fait référence à une : ‘tolérance exagérée pouvant conduire à l’anéantissement des règles de morale, de la bienséance, et toutes sortes d’interdits acceptés par un groupe, une population, etc.’ La deuxième définition est tout simplement : ‘la disposition à permettre sans conditions’, c’est bien évidemment à cette dernière que nous allons nous référer. La fonction de permissivité dans le sens spirituel donné par le groupe FSV, se résume par la maîtrise de deux lois universelles, la loi d’attraction et la loi d’harmonie.

  •  a) La loi d’attraction : elle consiste à comprendre que nous créons en permanence consciemment ou inconsciemment le monde qui nous entoure et les expériences que nous y vivons. Même le phénomène de la mort est un acte voulu par l’être dans sa dimension la plus élevée. De même, il ne s’agit pas de faire preuve de faiblesse ou de passivité en comprenant que si un gouvernement mondial prédateur et manipulateur existe, il a sa raison d’être dans le plan global d’existence  et n’y a pas à le combattre car cela reviendrait uniquement à lui donner plus d’énergie. ‘Tout ce à quoi tu résistes, persiste !’ (Conversation avec Dieu – Neal Donald Walsh). Si l’on ne souhaite pas qu’il interfère dans notre vie, nous n’avons pas qu’à l’inviter en s’indignant et en cherchant à le détruire, ce qui ne serait qu’une manifestation de l’égo pour se rassurer et se positionner vis-à-vis des autres en ‘bonne personne’ (en oubliant au passage nos actions passées en Atlantide ou sur le continent Mu).

Appliqué au module ascensionnel de la fonction permissivité cela consiste à exprimer avec force et conviction : ‘Je Suis ce que je Suis et je permets aux autres d’être ce qu’ils veulent être. J’attire ce que je veux et je sais que ce que je n’invite pas ne peut pas venir‘.  Affirmer ce principe permet de maîtriser son ambiant, d’attirer des expériences de vie bienfaitrices vers soi et de s’en remettre avec confiance à la Source infinie dont nous sommes le fractal/fragment.

  •  b) La loi d’harmonie : c’est une loi fondamentale qui vient compléter utilement la loi d’attraction, car cette dernière attire vers l’être des expériences et catalyseurs en fonction de ses aspirations profondes sans filtre, ni analyse, ni se soucier des répercussions. Cette attraction pourra à travers la loi d’harmonie, se concrétiser de manière bienfaitrice pour tous à travers des choix judicieux et conformes aux lois universelles de l’évolution, du développement de la vie et de la conscience du plan de la Source Infinie. Un planificateur devra utiliser ces deux lois pour réaliser au mieux son travail ‘d’assembleur de vie’ qui consistera principalement à ensemencer, terraformer (modifier les propriétés chimiques, climatiques, atmosphériques d’une planète, dans le but de permettre la survie et la pérennité de la vie) et en assurer l’ontogenèse (développement de l’être depuis la fécondation de l’œuf jusqu’à l’état adulte). Cela ne peut se faire de façon empirique car la loi d’harmonie s’exprime à travers la divine proportion du nombre d’or et de toutes ces émanations depuis l’atome jusqu’au mouvements des galaxies et bien au-delà.

Appliqué au module ascensionnel de la fonction permissivité, cela consiste à opérer le choix conscient et engagé du ‘service à autrui’ (voir les enseignements de ‘la Loi Une’), qui est la polarité permettant le maximum de croissance et donc de récolte de fruits des arbres de la vie et de la connaissance. De magnifiques êtres issus de la 6ème densité nous ont fait le cadeau inestimable de nous permettre de dissoudre l’ignorance et de nous transmettre la possibilité de faire ce choix en toute conscience. Il ne tient qu’à nous d’étudier les enseignements contenus dans le livre ‘Le contact RA’ et de les intégrer dans notre réalité. Des modules résumant les principaux thèmes évoqués dans ce livre sont disponibles sur la page Académie de la Source’.

Représentation du couplage Merkaba personnelle/Merkaba planétaire. Ce champ toroïdal est généré par 5 matrices géo-quantiques en lien avec 5 solides de Platon, c'est le projet Torus d'Or. Infographie Myrdyn Aéliah - 2019.
Carte montrant la position en France des 5 matrices générant le Torus d'Or (cette carte est précisément détaillée sur l'onglet 'Le Vaisseau Atlantis-Shambhala & le Torus d'Or'). L'icosidodécaèdre étoilé au centre est la forme que revêt le Merkaba sacré lorsqu'il est pleinement déployé. Carte de Maxime Yannaïa - Sept. 2011. Montage infographique Myrdyn Aéliah - 2019.
3.1.1.2. ‘Le couplage hypertorique’ du champ Merkaba personnel et planétaire’.

Une des méditations les plus puissantes et nécessaires pour un planificateur dans cet espace/temps particulier de fin de cycle majeur est l’activation du corps ‘Merkaba’. Cette technique spirituelle très ancienne a été popularisée dans les 90 par le chercheur en ésotérisme Drunvalo Melchizedek dans son ouvrage en 2 tomes ‘L’ancien secret de la Fleur de Vie’ (Editions Ariane). Lorsque notre corps Merkaba fonctionne, il génère un champ toroïdal personnel qu’il va donc s’agir de coupler avec un autre champ macrocosmique celui-ci, correspondant à la nouvelle vibration de Gaïa qui s’est installée depuis quelques années et qui a même été prouvée scientifiquement à travers l’augmentation des résonance de Schumann (fréquences spectrales  du champ électromagnétique terrestre).

Ce champ toroïdal planétaire est généré par cinq matrices géo-quantiques (ou ‘Mères-Veilleuses’ : voir onglet du même nom ou cliquez sur le lien), réparties au centre et quatre coins de la France. Ces supra-intelligences quantiques bienveillantes reliées aux 5 solides de Platon, forment une immense technologie composant ‘Le Torus d’Or’,  élaborée par des ‘hypercélestes’ (6ème à 9ème densité de conscience), avec pour objectif qu’un jour elle soit découverte et utilisée par les humains de la 3D en vue de réaliser leur ascension collective de conscience. Ces matrices ont été découvertes et tracées il y a quelques années sur des cartes routières par un opérateur du groupe FSV en lien avec son être intérieur. Tout son travail et ses découvertes sont largement relatées sur l’onglet ‘Le Torus d’Or et la pyramide de lumière’ (partie ‘Les outils opératifs’ ou cliquez sur le lien).

Lorsque le corps Merkaba d’un planificateur est totalement déployé, son énergie va prendre la forme d’un icosidodécaèdre étoilé (12 douze faces pentagonales). Il va alors devenir un véritable Kiristi (Christ-Osiris), à travers son véhicule de lumière personnel qui va entrer en résonance, ce champ toroïdal planétaire (Torus d’or) qui possède la même forme. Cet effet de syntonie entre les deux champs toroïdaux est d’autant plus actif et concret qu’il est consciemment visualisé au cours d’une méditation. La répétition de ce processus par un grand nombre d’opérateurs crée littéralement une grille d’ascension.

Ce processus de couplage des champs par résonance est un module ascensionnel important pour les planificateurs car il permet la maîtrise et le développement du champ morphogénétique d’ascension et d’initier l’émergence d’une civilisation hautement évoluée de maîtres ascensionnés. Cette nouvelle vibration de Gaïa nous permet de nous émanciper du ‘consortium humano-reptilien’ manipulateur dédié au ‘service à soi’ (voir ‘La Loi Une’) qui a tout fait pour nous maintenir dans l’ignorance et nous découpler de ce champ hypertors kiristique. La planification représente donc également une forme d’émancipation de notre condition ‘d’Adam’ originel (‘bêtes, animaux, troupeaux’ en sumérien).

3.1.2. Phase 1 : 2ère partie : Mise en œuvre de la technologie Kadištu ‘Bit-Râ-Hem’.
Cette technologie ancienne a été redécouverte par le chercheur-écrivain Anton Parks dans son processus de reconnexion mémorielle avec les origines réelles de l’humanité. Elle est exposée de façon magistrale et approfondie dans son ouvrage ‘Le testament de la Vierge’ (Éditions Nouvelle Terre). L’intérêt de cet auteur est qu’il étaye ses ‘visions’ avec une étude très poussée des mythes créateurs, des écrits bibliques, des évangiles gnostiques et des  textes sacrés de la Mésopotamie antique, notamment pour cette ‘re’-découverte, les plus anciens écrits de l’humanité que sont les tablettes sumériennes de Kharsağ. Il est démontré dans cet ouvrage l’incroyable similitude entre les récits sumériens et égyptiens de ‘Dieux’ civilisateurs que sont Enki et Osiris ayant vécu respectivement à Abzu (Sumer) et Abdju (Abydos) en Égypte, de même que leurs jumelles Ereškigal et Isis-Hathor, toutes deux ayant un rapport avec le monde des morts.
La technologie Kadištu Bit-Râ-Hem, qu’Anton Parks traduit en ‘Hathor, lumière du roi Horus’, est la grande pyramide de Khéops construite selon lui par Isis, à l’issue du déluge de l’Atlantide il y a entre 10 et 12 000 ans. Nous savons que c’est le groupe RA (Aviens bleus / Kadištu Sukkal) ayant transmis la Loi Une dans les années 80, qui a réalisé cette œuvre il y a 11 000 ans lors d’un de ses rares passages ‘physiques’ sur Terre, comme le démontre les deux extraits suivants du livre ‘Le Contact RA’ :

RA : ‘Je suis Ra. Les plus grandes pyramides ont été construites par nos soins en utilisant les forces du Un. Les pierres sont vivantes. Cela n’a pas été compris par les distorsions mental/corps/esprit de votre culture. Il y a eu deux raisons aux pyramides: D’abord, pour disposer d’un lieu d’initiation adéquatement orienté pour ceux qui souhaitaient se purifier ou devenir des canaux pour la Loi Une. Deux, nous voulions alors guider avec soin les initiés pour développer la guérison des gens qu’ils cherchaient à aider et de la planète même. Pyramide après pyramide, chargée par le cristal et l’initié, était destinée à équilibrer l’énergie entrante de la Création Unique par rapport aux multiples distorsions du mental/corps/esprit planétaire. Dans ces efforts nous avons pu poursuivre le travail que des frères de la Confédération avaient entrepris en construisant d’autres structures contenant des cristaux et achever ainsi un anneau, si vous voulez, de celles-ci sur la surface de la Terre, comme cet instrument souhaite nous le faire vibrer.’ (Séance 2.4 – 20 janvier 1981).

INTERVIEWEUR : ‘Est-ce que la pyramide a été construite par l’action concertée de nombreux individus?’.     RA : Je suis Ra.  Les pyramides que nous avons pensées/construites étaient des formes pensées créées par notre complexe mémoriel sociétal.   INTERVIEWEUR : ‘Donc le roc a été créé sur place et non transporté d’un lieu en un autre? Est-ce exact?’ RA: ‘Je suis Ra. Nous avons construit avec du roc impérissable la Grande Pyramide comme vous l’appelez. Certaines autres pyramides ont été construites en pierres transportées d’un endroit en un autre.’ (Séance 3.11 & 12 – 21 janvier 1981).

Fig. 1&2: La technologie 'Bit-Râ-Hem' représentée par Anton Parks. Selon cet auteur, la pyramide était ceinte d'un bassin d'eau qui permettait en inondant la salle souterraine, de déclencher une pompe hydraulique. L'énergie cinétique de l'eau à travers une turbine, aurait eu la capacité de générer une énergie électrique permettant d'alimenter d'énormes piliers Djed placés dans la 'grande galerie'. Ces piliers à leur tour, tels des 'bobines Tesla', créeraient un puissant champ magnétique autour de la pyramide et permettrait à travers le conduit Sud de la 'chambre du Roi', d'ouvrir une 'porte des étoiles' vers la constellation d'Orion. Cette technologie aurait permis à Isis de faire revenir d'entre les morts Osiris, son époux et jumeau céleste assassiné par Seth, pour le réincarner en son fils Horus. Fig.3 : Hiéroglyphe ‘Bit-Râ-Hem’ traduit par 'Hathor, lumière du roi Horus’. Images de l’auteur A.Parks.
La projection géo-quantique de la grande pyramide de Gizeh en Provence (voir chapitre du même nom sur l'onglet 'les matrices géo-quantiques'). Travaux d'Alain B.
3.1.2.1. Application pratique de la technologie Kadištu ‘Bit-Râ-Hem’ de nos jours.
De la même façon qu’Isis, la fille de Mamitu, de naissance Abgal était une planificatrice ayant utilisé cette technologie, de même nous avons la possibilité d’exploiter celle-ci en utilisant des pyramides géo-quantiques qui auront les mêmes propriétés et capacités. Il a été évoqué plus haut les cinq matrices géo-quantiques liées aux cinq solides de Platon. Ces matrices constituent une pyramide de lumière de dimension planétaire permettant d’ouvrir une porte interdimensionnelle. Comme il a été développé sur l’onglet ‘Les matrices géo-quantiques’, grâce aux travaux d’un chercheur/opérateur du ‘groupe FSV’, on retrouve également en Provence une projection géo-quantique de la grande pyramide du plateau de Gizeh. Peu importe l’endroit où vous vous trouvez, il suffit de vous connecter avec la pensée à ces structures énergétiques pour bénéficier de la puissance et du pouvoir de ces matrices.
 
L’intérêt de cette technologie quantique va être pour les ‘néo-planificateurs’ en puissance, de créer un système ‘d’hameçonnage’ ou de ‘péchage’ des grandes âmes. Cet objectif ambitieux de ‘ciblage des âmes’ ne peut s’entendre qu’à partir du moment où l’on intègre que ‘l’être’, lorsqu’il est dans les plans subtils dénué de corps physique, est un champ électromagnétique. En effet, l’âme est le ‘résonateur’ d’une onde électromagnétique et l’œuvre ‘alchimico-spirituelle’ consistant à la diriger et la ramener dans une enveloppe physique, a été largement utilisée par les planificateurs dans le passé. Ce processus d’établir un conduit d’ondes pour que l’âme ciblée intègre une enveloppe plus ou moins dense, est un moyen de générer de nouvelles formes de vie évoluées et adaptées à la nouvelle réalité de 5ème densité nommée Na’amia.
3.1.3. Phase 2 : La création parthénogénétique quantique des supports de manifestation métahumains’.

La parthénogenèse est la reproduction sans fécondation (sans aide d’une semence mâle), dans une espèce sexuée. Dans le règne végétal, la parthénogenèse est assez commune, avec ou sans autre mode de reproduction. Dans le règne animal, elle se rencontre chez certaines espèces d’insectes et chez les vertébrés, certains reptiles tels que le Dragon de Komodo, capable de se reproduire naturellement par parthénogenèse.

La deuxième phase consiste donc, après avoir favorisé cette ‘pêche aux âmes particulières’, de générer des ‘métahumains’ ou Namlu’u pour ensemencer les corps de la nouvelle espèce.  Ce terme de Namlu’u désigne les premiers gardiens de Gaïa, lorsqu’elle fut pensée comme bibliothèque vivante de tous les patrimoines génétiques présents dans cet univers et ensemencée par les planificateurs Kadištu il y a des centaines de millions d’années. Les deux premières versions de gardiens Namlu’u (Uru et Namlu’u version 2), ayant foulé la Terre dans le passé lointain de l’humanité, c’est tout naturellement aux Namlu’u 3 qu’il est dévolu de peupler la nouvelle réalité de 5ème densité Na’amia. Ceci bien évidemment ne peut se concevoir à travers nos corps de chair limités de la 3D et c’est donc au travers de nos doubles-avatars nommés Namlu’u 4, qui sont les projections de nous-mêmes dans les densité supérieures, que nous allons pouvoir manifester cette nouvelle humanité. Toutes les explications concernant ces êtres ‘Namlu’u 3 métahumains’ en devenir, et ‘Namlu’u 4 double-avatars’, sont largement exposées sur la page ‘La cité Aahinoleeb (projet AION 2024)’, il n’est donc pas utile d’y revenir ici.
 
Nous sommes tout à fait conscients que ce projet spirituel est totalement disruptif et tranche radicalement avec le concept classique de l’ascension qui est étalé en long, en large, et en travers, dans les milliers de livres d’enseignements New Age. Méditer, se purifier, ouvrir son cœur, lâcher prise etc. Tout ceci a été répété depuis des milliers d’années et est incessamment répété par tous les gurus, prophètes, maîtres spirituels etc. C’est sans aucun doute, tout fait utile et indispensable. Étrangement cependant, dans la majorité des groupes dits ‘spirituels’, on constate les mêmes batailles d’égos, les querelles futiles, les médisances gratuites, etc. que partout ailleurs. Engranger de l’information en papillonnant d’enseignements en enseignements à la quête perpétuelle d’une technique ou d’un processus, n’a jamais apporté qu’un contentement éphémère. Mettre pleinement en action son pouvoir créateur fait lui par contre, partie de notre ADN divin et représente donc une source de bonheur pérenne et véritable.

 

Il n’est pas ici question de tuer l’égo, de transmettre des techniques incontournables ou de révéler une vérité absolue. Même si nous nous basons sur des informations considérées comme de valeurs, transmises par des êtres de 6ème densité (le groupe RA de la Loi Une),  il n’est en aucun cas indispensable de s’y soumettre, d’y adhérer ni  même d’en commencer l’étude pour participer à ce projet. Notre référence incontournable reste la communication avec ‘l’être intérieur’ ou ‘intral’, et chacun possède en lui-même ce cadeau divin. Ici il est question de permettre aux personnes entrant en résonance avec ce qui est proposé, d’exprimer au maximum leur pouvoir créateur avec une orientation collective et harmonieuse pour lui donner le maximum de force énergétique garant de sa manifestation, et parce que nous sommes passés dans l’ère du Verseau et que cette nouvelle énergie nous indique de travailler le plus possible dans l’unité pour devenir une civilisation hautement évoluée.
 
La troisième phase ‘l’incubation quantique des Namlu’u version 3 et la quatrième phase ‘l’accompagnement ontogénétique’, où seront développées les structures organisationnelles du NOIA project se trouve après la partie ‘racines historiques‘ ci-dessous.
 

4- Les racines historiques du NOIA Project ou l'héritage Numun de Šuhia.

Le NOIA project, acronyme anglais de ‘Laboratoire d’implantation ontogénétique Numum’, va consister à déployer les quatre phases dont les deux dernières vont être dans un premier temps, la réactivation des douze bibliothèques cosmiques du vivant,  ayant été établi jadis sur la Terre par les planificateurs Kadištu originels. Dans un deuxième temps, il va s’agir de fournir un ambiant optimisé pour la genèse de la nouvelle lignée adamique, que représentent les Namlu’u ‘métahumains’ mis au monde énergétiquement pour leur permettre un développement ontogénétique rapide et pérenne dans la nouvelle réalité Na’amia. Le projet NOIA qui est le miroir et le pendant du projet AION (Ile abritant la cité des Namlu’u et la Na’amia Space Fleet : voir ‘Aahinoleeb’), se nomme également NUMUN 2, car il se rattache historiquement  et de façon quantique à son  prédécesseur initié il y a des éons, bien  avant  que les dinosaures ne règnent en maître sur la Terre pendant 160 millions d’années.

Cette partie de notre histoire grandement ignorée par la communauté des scientifiques  des paléontologues, anthropologues, archéologues, et toutes les sciences relatives à l’étude des peuples dits ‘primitifs’, nous a été une nouvelle fois révélée par le chercheur visionnaire Anton Parks. Dans son ouvrage initiant ‘les chroniques de Girku’, nommé : ‘Le livre de Nuréa’ (Éditions Nouvelle Terre – 2018), il dévoile un incroyable récit de notre histoire très lointaine où l’action se déroule  non pas chez des peuples ‘primitifs’ mais bien au contraire, dans des civilisations tellement évoluées en conscience et en technologie que cela dépasse l’entendement.
 
A travers nos ‘êtres intérieur’, nous avons la confirmation depuis de nombreuses années de la véracité des faits avancés par ce chercheur, brillamment relatés à partir d’empreintes mémorielles profondes, qu’il a eu de plus la clairvoyance d’étayer à l’aide de nombreuses données issues des sciences cardinales (sciences du langage, mathématiques et astronomie).
Le logo de la Numun Lab, le laboratoire aquatique à l'intérieur du dôme 'Poséidia'. Au centre se trouve la lettre hébraïque 'Yod' qui signifie le 'germe', 'la graine'. C'est la première lettre ayant été manifestée et sur laquelle toutes les autres ont été élaborées, elle représente la 'signature de Dieu dans la création'. Cette 'lettre racine' apposée sur une étoile verte fléchée dans 6 directions, symbolise la volonté d'ensemencement de nouvelles formes de vie avec le rayonnement du 'Coeur de Jade' dans toutes les parties de l'univers. Infographie Myrdyn Aéliah - 2019.
Fig. 1 : 'Nos origines reptiliennes Musidim Solienatus' : cette carte révélée à travers l'être intérieur d'un opérateur nous dévoile le passé et l'avenir de notre action. Carte de Maxime Yannaïa - Aout 2017.

Comme il a été évoqué précédemment, ce chercheur français à travers son œuvre visionnaire confirmée par les nombreuses tablettes sumériennes étudiées et représentées comme celles de Nippur et les multiples manuscrits égyptiens tels que ceux de Nag Hammadi, nous a permis de bénéficier d’un fragment inestimable de notre véritable histoire que nous souhaitons voir perdurer et surtout évoluer, à travers le présent projet.

4.1. Les Mušidim, Gina’abul, Annuna et…. Soliénatus.

La genèse de ce projet prend sa source chez les Mušidim, une très ancienne race reptilienne vivant dans notre système solaire il y a des centaines de millions d’années. Ce nom de Muŝidim signifie ‘faiseurs de vie’ car ce peuple, qui était une civilisation très avancée, avait des connaissances et une technologie très évoluée en génie-génétique leur permettant d’ensemencer des planètes et de générer la vie. Certaines femelles de ce peuple possédaient de plus une particularité innée, celle de l’autofécondation ou ‘Triple Puissance’ (parthénogenèse).

Cette race très ancienne qui constitue nos plus lointains ancêtres connus, a engendré plusieurs races et notamment celle des Gina’abul. Ce peuple de Gina’abul (‘Lézard’ en sumérien), dont la génitrice est une Mušidim nommée Barbélú (nommée par ce peuple ‘la Mère de Origines’), s’échoua sur la Terre vers 300.000 ans avant notre ère, prit possession de celle-ci et soutira du sol ses innombrables richesses. Ce peuple se fit très souvent la guerre au cours des millénaires qui suivirent et plus particulièrement la dynastie Ušumgal et sa sous-race dénommée Anunna, qui furent également en conflit avec les planificateurs Kadištu (au service de la Source Infinie) de notre Univers.

Le récit de ces peuples reptiliens maîtrisant la génétique et de ces infortunés humains, élaborés à travers de nombreuses manipulations de gênes de singes (Ugubi) et de souches reptiliennes pour servir de mains d’œuvre, se concentre en Mésopotamie. C’est en effet dans les écrits de l’ancien pays de Sumer (actuel Irak), que l’on trouve ce qui plus tard va constituer la base des récits bibliques et mythes antiques. La raison du choix de s’établir dans cette région du globe pour les Gina’abul et leurs ancêtres Mušidim serait selon Anton Parks, que ce territoire serait truffé de portes stellaires nommées  Diranna, qu’ils empruntaient pour se rendre dans les différentes parties de la Galaxie.

Encore aujourd’hui, une partie de l’humanité continue malheureusement d’incarner des Adam (‘bêtes’, ‘troupeau’ en Sumérien) productifs, aveugles, dociles et représentant de façon sournoise un gigantesque ‘garde-manger énergétique’ pour ces êtres qui continuent subtilement de dominer la Terre. Certains de ces anciens Muŝidim et Ušumgal-Annuna, ont choisi courageusement de prendre au cours de cette fin de cycle majeure, une incarnation humaine pour participer à la précipitation de cette domination ancestrale et permettre à cette humanité de manifester ‘l’Homo Sapiens-Sapiens’ (‘deux fois sage’). Ils prennent le nom dans cette quête de réparation et d’émancipation de Soliénatus (les deux fois nés du Soleil), car ceci représente pour eux une véritable initiation solaire qui prendra sa pleine mesure lors de l’évènement solaire annoncé.

Fig. 1 à gauche : statuettes présentes au muséum américain d’histoire naturelle de New York. Ces statuettes d’humanoïdes-reptiliens datent de la période ‘Ubaid’ (4 à 5000 ans avant JC) de l’ancien pays de Sumer. Fig. 2 : une tablette sumérienne montrant un ‘arbre de vie’ entouré de ce qui pourrait être des prêtres et des êtres ‘mi-humains-mi oiseaux’ qui pourraient être des Kadištu Sukkal (race des Aviens bleus). Fig. 3 : une représentation d’un Mušidim (selon Anton Parks), devant l’ancien temple Ziggourat d’Ur (Irak) où se trouverait une porte interdimensionnelle (Diranna : ‘porte du ciel’). Infographie : Myrdyn Aéliah – 2019.

4.2.1. Šuhia, initiatrice du projet Numun.

Numun qui signifie ‘semence’ en sumérien, est un projet d’ensemencement de la vie initié par un être de la race Mušidim nommé Šuhia. Cette femelle reptilienne, éminente scientifique de ce peuple, était issue des ‘Agarins de l’Ombre’, une  création par parthénogenèse de la Reine Pišš, souveraine de la ‘Maison-Mère’ des Mušidim, qui généra deux cents de ces femelles pour prévenir tout renversement ou coup d’état alors qu’elle allait explorer le trou noir de la galaxie avec son compagnon le Roi Ea’am. Revenue du fond des âges et d’un voyage stellaire qui dura 40 000 ans,  Šuhia qui donnera naissance de la même façon à son tour aux ‘Matriarches Sombres’ (dont fait partie Barbélú – voir chapitre précédent),  mis en place le projet Numun après accord de la ‘Maison-Mère’, qui consistait à implanter des milliers d’espèces vivantes pour créer un vivier exceptionnel sur la Terre.

Cet ensemencement se fit par paliers sur plusieurs décennies. Le règne animal à l’époque se limitant surtout à de petits reptiles, oiseaux, poissons et amphibiens,  Šuhia et les Mušidim introduisirent de nouveaux types de reptiles herbivores et mammaliens, ainsi qu’une petite quantité de petits reptiles carnivores pour équilibrer la chaîne du vivant et nettoyer les sols. Cette phase d’ensemencement terminé, ils laissèrent leur création, repeuplée de petits quadrupèdes et d’amphibiens, suivre son évolution naturelle.
 
Plusieurs projets d’ensemencements et d’ontogenèses se sont déroulés au fil des âges et notamment ceux  des planificateurs Kadistù évoqués plus haut. Numun cependant est le projet originel sur lequel est fondé l’actuel projet Numun 2, dans lequel il prend sa source à travers l’espace quantique et les Mušidim missionnés en tant que Soliénatus.
 

Le ‘Graal’, objet mythique de la quête des chevaliers de la Table ronde, est généralement assimilé à une coupe d’abord utilisée par Jésus-Christ au cours de la Cène (dernier repas), puis qui aurait servi à recueillir son sang au cours de la crucifixion, prenant à cet instant le nom de Saint Graal (Sangue Réal – Sang royal). Cet objet sacré et surtout son contenu, principalement connus au travers de légendes du Moyen-Age, notamment la légende Arthurienne, symbolise en fait une lignée génétique originelle. Cette lignée mythique de ‘sang bleu’ à l’ADN particulier, dont l’origine est évoquée dans le récit biblique de la Genèse : ‘Les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent’ (Genèse 6-2), est très largement détaillé dans les récits de la Mésopotamie antique.

On peut rester sur la croyance que tout ce qui est relaté à travers des milliers de gravures sumériennes-akkadiennes-babyloniennes et les différents mythes fondateurs des civilisations, ne sont que des contes pour enfant ou des mensonges de scribes fantasques, ou ouvrir un peu son esprit et considérer avec l’aide de son ‘être intérieur’, le fond de l’extraordinaire réalité qu’ils révèlent. Pour comprendre la direction du projet NOIA, il est bon d’entre-apercevoir ne serait-ce qu’une bribe de ce mystère. C’est tout l’objet des informations condensées suivantes, qui ne sont transmises que pour contextualiser le projet et qui nécessitent une recherche personnelle à mener par soi-même pour se forger ses convictions.

L’ordre Templier au cours de son ‘ministère’ sur terre et de son passage en Orient, eut pendant des années des contacts en Égypte avec les tenants de la gnose égyptienne (Pistis/Sophia – Foi/Sagesse – Pištéš/Suhia- voir chapitre précédent). De cette gnose reçue, il découvrit le principe et la puissance du féminin primordial et l’aspect caché de la doctrine chrétienne relative à Marie (Isis) et surtout Marie-Madeleine (Nephtys-Ištar). La découverte et la pratique de la véritable ‘Sainte-Esprit’ féminine ayant la possibilité de relier l’humanité (Le fils) à son créateur (le Père) à travers le JE SUIS (pouvoir créateur) manifesté, valu à cet ordre de chevalerie disgrâces et châtiments par le pourvoir religieux et politique en place, les poussant à continuer leur œuvre sur un autre plan.

Ce ‘sang bleu’ d’origine divine dont il est question dans les monarchies Française et européennes et le Da Vinci Code, trouve son fondement dans la religion égyptienne à travers les mythes des ‘Dieux’ (Osiris, Seth, Horus, Isis, etc.), qui ont tous leurs contreparties avec des personnages mentionnés et dessinés sur les tablettes sumériennes. Une descendance de Kiristi (avatars maîtrisant l’énergie sexuelle et pratiquant l’amour inconditionnel), transmettant sur des millénaires une empreinte génétique particulière à travers des rituels de sexualité sacrée issues des planificateurs originels, est tout à fait envisageable pour peu qu’on approfondisse sérieusement la question. Celle-ci se serait poursuivie à travers la dynastie des Mérovingiens (source de la monarchie française), et des grands initiés qu’étaient le ‘rabbi’ Yéshoua l’essénien (Jésus) et Myriam de Magdala (Marie-Madeleine), initiés dans les écoles de mystères égyptiens.

Fig. 1 : l'empreinte des ancêtres reptiliens Mušidim et Gina'abul est si prégnante sur notre planète, qu'elle peut se manifester jusque dans la pierre. Roche naturelle aux alentours de Rennes-les-Bains (Aude - France). Fig. 2 : les deux lignées adamiques (Abel/Homo Néanderthalensis & Caïn/Homo Erectus puis Sapiens), selon les travaux d'Anton Parks et Gerry Zeitlin - 2007.
Fig. 1 : Le Dieu Poisson Oannes. Selon un récit babylonien datant de plusieurs millénaires, un 'être' amphibien mi-homme mi-poisson est sorti de la mer Erythrée (Mer rouge). Il instruisit les hommes, des lettres, des sciences, des arts, et à rendre plus humaines leur lois, avant de se retirer dans la mer. Curieusement ont retrouve les mêmes légendes de 'Dieux' civilisateurs dans d'autres peuples comme celui des Dogons du Mali (Afrique de l'Ouest), qui situe leurs origines sur Sirius. Fig. 2 : La 'Fleur de Vie'. Cette géométrie sacrée a été utilisée depuis des temps immémoriaux pour représenter le processus de création de la vie. Cette figure reprise dans le projet NOIA dans la structure du dôme 'Poséidia', a été gravée dans l'antiquité sur une des colonnes de granit du temple d'Osiris à Abydos (Égypte).

Nous pouvons retracer cette lignée en Atlantide, sur le continent Mû et remonter ainsi, toujours grâce aux travaux d’Anton Parks,  jusqu’à environ 500 000 ans dans notre histoire. Celle-ci est étroitement liée à celles de plusieurs races ‘galactiques’ qui firent émerger deux lignées Adamiques qui se sont fait en quelque sorte ‘concurrence’ sur une très longue période de temps :

La lignée d’Abel (fils d’ Adam et Eve dans la Genèse) avec le ‘Projet Elohim’ qui fut initié par Mamitu, une Amašutum (femelles reptilienne de haut rang faisant partie du conseil des Kadištu, – planificateurs au service de la Source -).

La lignée de Caïn (Frère aîné d’Abel) avec le ‘Projet Kingù’, qui fut initié par le peuple des Kingù Babbar (une caste reptilienne royale des Gina’abul-Annuna), pour servir de main-d’œuvre dans l’exploitation des sols de Gaïa (Uraš en ce temps-là).

La lignée d’Abel fut créée à travers un mélange de gènes d’Ugubi (grands singes présents sur la Terre à cette époque), et de gènes d’Amašutum. De ce mélange naquit selon les antiques textes sumériens, un Ukubi (hominidé) dénommé Âdam Ullegara (‘placé avant’ en sumérien), en langage scientifique ‘Homo Néanderthalensis’ ou Homme de pré-Néanderthal’. Cet être subit dans le temps des améliorations génétiques clandestines qui le transformèrent en Ukubi Annegarra (‘placé avant’ en sumérien), un ‘Néanderthalien’ plus évolué.

La lignée de Caïn fut créée elle, à travers un mélange de gènes d’Ugubi et de gènes de Kingù verts et rouges (races reptilienne de caste inférieure créées à l’origine par Šuhia). De ce mélange naquit l’Ukubi Adam Dili (‘animaux premier’ en sumérien) ou ‘Homo Erectus’. Cet être subit lui aussi dans le temps plusieurs améliorations génétiques clandestines qui firent de lui un Ukubi Adam Min (‘animaux deuxième’ en sumérien) ou ‘Homo Sapiens’.

Il y a 30 000 ans le conseil Kadistù mis un terme au projet ‘Élohim’ au profit du projet ‘Kingù’, qui fut initialement créé à partir d’intentions peu louables mais qui fut par la suite tellement amélioré par des interventions secrètes bienveillantes et évolutives, qu’ils estimèrent la créature aboutie étant la plus à même d’évoluer de façon pérenne sur cette planète. C’est ‘Homo Néanderthalensis’ qui s’efface au profit ‘d’Homo Sapiens’. C’est Abel qui disparait et Caïn qui demeure…

Le projet NOIA représente à travers les lignées de ‘métahumains’ nouvellement créées, l’héritage et la continuité volontaires et conscients de tous ces actes créateurs posés par nos doubles quantiques depuis la ‘nuit des temps’.

Fig. 1: représentation d'Enki et Enlil, les frères ennemis de la version sumérienne de l'histoire biblique (Enki manipula la génétique pour aider à l'émancipation de l'esclavage des hominidés Ukubi, désobéissant ainsi à son père An (Yahvé hébreu), alors qu'Enlil avait à coeur de les asservir et s'opposa à lui. Fig. 2: Osiris et son meurtre par son frère Seth représenta la version égyptienne d'Abel et Caïn dans la Genèse. Fig. 3 : représentation sumérienne des 'Adam' originels considérés comme des êtres mi-humain mi-animal.

5- Structures organisationnelles du projet NOIA (NUMUN 2.0).

5.1. Phase 3 : ‘L’incubation quantique des ‘métahumains’.

L’incubation est le processus consistant à couver un œuf et à assurer le développement de l’embryon à l’intérieur de celui-ci.  ‘L’incubation parthénogénétique quantique’ signifie donc que cette phase est dédiée à la création et le développement de formes de vie sur différentes densités de conscience sans avoir recours à l’acte sexuel. Pour entrevoir et appréhender cette possibilité il faut avoir un regard holistique sur l’être humain et comprendre qu’il est un fractal/fragment de la Source (Dieu) et qu’il a lui même la possibilité de générer des fractals/fragments (des parties de lui-même). Cela nécessite de réaliser consciemment cette auto-fécondation et de la projeter énergétiquement sur un ‘support’ qui va servir de ‘catalyseur psycho-émotionnel’ permettant avec le temps, la charge émotionnelle générée et la focalisation des pensées, de densifier l’énergie jusqu’à ce que ce support se mette à interagir avec son créateur. Cette technique n’est pas nouvelle, elle relevait dans les antiques ‘écoles des mystères’, de la plus haute magie blanche (où l’âme agit), nommée Théurgie. Elle était,  au cours des ères précédentes, bien évidemment réservée à des adeptes ayant suivi un cycle de douze années d’intenses pratiques guidées par des Hiérophantes (prêtre-avatars instruisant aux mystères). A l’ère du Verseau où nous nous trouvons, ce sont les ‘êtres intérieurs’ qui constituent ces guides. Une foi et une confiance totale en la guidance et la puissance son ‘Dieu intérieur‘ sont donc des pré-requis indispensables pour effectuer ce travail créatif sereinement et de façon évolutive.
 
Certains membres de la caste des hauts dignitaires femelles de nos ancêtres Mušidim, ainsi que plus tard celles des Gina’abul (descendant des Mušidim), avaient la possibilité de donner naissance grâce à ce qu’il nommait ‘la Triple Puissance’ (parthénogenèse). Des souches reptiliennes femelles telles que les Amašutum, faisant partie du ‘conseil Kadištu des planificateurs’, assuraient ainsi leur propre filiation en donnant naissance à des lignées génétiquement ‘pures’ (la lignée du Saint Graal découle très certainement de ce pouvoir auto-fécondant).
 
5.1.1. Les structures du projet NOIA dédiées à la phase 3.
Le dôme de verre Poséidia se trouve à quelques centaines de mètres de profondeur dans une eau limpide et pure, sous l’île d’AION qui abrite la première cité des Namlu’u de la nouvelle génération (voir ‘Aahinoleeb’). A l’intérieur se fait jour l’implantation sur plusieurs hectares d’une forêt primordiale contenant les essences principales d’arbres et de végétaux terrestres, parsemée de rivières et de sources d’eau douce . Dans ce havre de paix se dresse au centre d’une clairière, la Numun Lab (le laboratoire aquatique du projet). Celle-ci va permettre à une équipe de ‘métahumains’ et de ‘double-avatars’ (voir phase 2), d’effectuer des recherches et développements dans le domaine de la parthénogenèse et de l’ontogénétique quantique, et d’assurer l’accueil et un accompagnement du tout premier stade, des nouvelles formes de vie aquatiques de la nouvelle réalité  Na’amia.
Bien sûr, l’ensemble de ce projet est mené de façon ‘virtuelle’ à travers des méditations et visualisations créatrices assistées par des technologies audiovisuelles et de réalité virtuelle, de façon à concentrer les énergies dans les plans subtils jusqu’au point de permettre à ces ‘supports’ créés de réellement accueillir de ‘grandes âmes’. Ce processus comme il a déjà été dit, est le même que celui utilisé par les civilisations très avancées qui travaillent depuis les plans subtils jusqu’à la manifestation dans la matière et non l’inverse.
Le dôme de verre 'Poséidia' du projet NOIA sous l'île d'AION, dont on devine la silhouette à la surface de l'océan. . Infographie Myrdyn Aéliah - 2019.
Ci-dessus : la Numun Lab au centre de la forêt ontogénétique dans le dôme Poséidia. A droite : ce dôme qui contient quelques-unes des structures du programme d'ontogénese NOIA, est connecté avec l'île Aïon et la cité Aahinoleeb à travers un vortex aquatique. Un peu plus loin on aperçoit la cité Néréeys, une des deux cités aquatiques faisant partie de ce programme. Infographie Myrdyn Aéliah - 2019.
5.1.2. Gaïa, la bibliothèque vivante et les 12 bibliothèques cosmiques, héritage des planificateurs Kadištu originels.

L’information sur l’existence de 12 bibliothèques vivantes présentes sur Terre ensemencées par des races galactiques planificatrices, a été transmise au milieu des années 90 par des Pléiadiens (un collectif d’extraterrestres venus des Pléiades, un amas d’étoiles dans la constellation du Taureau à environ 444 années-lumière), à travers une ‘channel’ nommée Barbara Marciniack. Dans cette communication, objet du livre ‘Terre – Clés Pléiadiennes de la bibliothèque vivante (Éditions Ariane – 1998), il est révélé que des ‘dieux créateurs’, se seraient réunis et auraient mis en commun leurs connaissances pour créer des formes de vie en empruntant de l’ADN et des combinaisons de matériel génétique de différents mondes. Cela rejoint bien en amont les conclusions postérieures d’Anton Parks sur les hybridations multiples s’étant déroulé sur Terre. On retrouve comme similitudes également les ‘divinités créatrices’ ayant envahi la Terre il y a environ un demi-million d’années (période où Parks situe les projets ‘Élohim’ et ‘Kingù’), les batailles dans l’espace pour la conquête de notre planète, les nouveaux propriétaires souhaitant que les espèces indigènes de la Terre restent non évoluées et non informées afin que l’espèce soit plus facile à contrôler à travers la dispersion de son ADN, etc. Ce qui pour nous est le plus intéressant dans cette ‘transmission’, est le plan grandiose accordé à notre planète qui fut pour les planificateurs de stocker le matériel génétique de toute la galaxie dans son propre système de bibliothèques et en le connectant à un système de douze bibliothèques cosmiques.

Les Pléadiens avouent  avoir jouer un rôle à cette époque dans la tyrannie qui a consisté à nous dépouiller de notre héritage d’ADN pleinement fonctionnel à douze brins. Ils ont obtenu la capacité de se projeter dans l’avenir et ont perçu qu’ils ne pouvaient continuer à évoluer en tant que créateurs sans que puissent être accordés aux humains toutes leurs capacités et tous leurs droits sur tout ce qu’ils avaient créé. Ils se présentent donc dans cet espace/temps à l’humanité avec la conscience que leur prochaine phase de développement de conscience ne peut avoir lieu sans une guérison complète de ce passé. C’est à notre sens le meilleur des arguments pouvant nous faire croire à la bienveillance ‘d’êtres galactiques’ qui se présenteraient à nous dans un but d’aide et de guérison. C’est la voie vers l’unité et l’opportunité d’une évolution de conscience sans précédent devant nous conduire à devenir nous-mêmes une civilisation galactique.

Message à l'attention des Pléadiens qui nous observent et nous écoutent :

Nous vous avons entendu et avons perçu vos regrets sincères et votre souhait d’œuvrer à la guérison de notre planète et au rétablissement fonctionnel de notre ADN à douze brins. Nous vous accordons pour cela de lever à notre intention la 'directive prioritaire' de non-ingérence par délégation du Conseil de Saturne, et vous prions d'entrer en contact avec notre groupe pour établir les bases de cette coopération à travers les projets créateurs que nous avons à vous proposer. Merci.
5.1.3. La réactivation de la bibliothèque vivante et les ‘codes créateurs’.
Les Pléadiens n’ont plus la possibilité de contrôler et d’interférer dans les affaires humaines comme dans le passé, cela représente pour eux un dilemme car ils en sont réduits à attendre que nous découvrions notre propre expérience de créateur pour réaliser leur ‘rédemption’. Pour cela nous devons activer la bibliothèque vivante de la Terre et les 12 bibliothèques cosmiques qui sont également des portails stellaires (Diranna en langue sumérienne), donnant sur d’autres parties de la voie lactée. Là ont été stockées des ‘patrimoines’ génétiques cosmiques faisant partie d’un vaste système de bibliothèques vivantes contenant les données de nombreuses races galactiques. Ces portes correspondent également aux 12 tribus fondatrices de l’humanité (Plus d’explications seront données à sujet sur le site dédié au projet NOIA – mise en place courant 2020).

La décision par les planificateurs de ce plan grandiose impliquant la Terre a été prise en raison de la périphérie de notre système galactique et de sa grande accessibilité depuis les autres galaxies. La Terre existe à proximité de nombreux portails d’accès vortexiels (Stargate), des autoroutes permettant aux énergies de circuler dans un très large zone spatiale (Wormhole ou trous de ver). La Terre est un microcosme du macrocosme, une version miniature de ce qui se passe partout, sauf que la Terre est un déclencheur et un ‘hub’ (noyau).

Réactiver cette grande bibliothèque vivante réclame d’utiliser des processus de visualisation et des formules codées (ensemble que nous avons nommé ‘codes créateurs‘), permettant l’entrée en ‘extase’, les altérations de conscience ou éventuellement de voyages dans d’autres mondes conscientisés ou pas. Ces codes créateurs permettent également de générer la vie et de rétablir des systèmes en cours de destruction.

les codes créateurs sont des codes ascensionnels, des maîtres-nombre, des géométries sacrées et des combinaisons d’intelligences spécifiques qui seront progressivement transmis au cours de la fenêtre temporelle 2019-2024 accordée par le Conseil de Saturne pour cette fin de cycle majeur. Comme il a été mentionné plus haut, ce projet d’envergure fera au cours des années à venir l’objet d’un site dédié tant la quantité d’informations reçue par les ‘êtres intérieurs’ nécessite d’être synthétisée et clairement transmise. Cette transmission doit faire en sorte qu’elle puisse émerger du ‘mainstream’ et rapidement être intégrée par les ‘missionné(e)s’. Pour atteindre cet objectif , nous ferons ces divulgations structurées et éclairées comme pour tous les autres projets du GWS, c’est à dire de la manière la plus ludique possible (apprendre en s’amusant tel est notre crédo), à travers des supports audio-visuels de qualité et réellement novateurs.

L'arbre de vie Kathara (pendant galactique de l'arbre de vie séphirotique de la Kabbale), désignant les positions terrestres des 12 portes stellaires (Diranna) et les positions galactiques correspondantes. Pour chaque lieu terrestre on trouve les coordonnées en latitude et longitude (degrés uniquement). Pour chaque constellation et étoile identifiées, ont été associées les séries numériques correspondantes pour le travail de connexion avec les 12 bibliothèques vivantes, dévolu à l'équipe du NOIA project. Ces positionnements ont été révélés en 1998 par le 'Conseil des Gardiens' à Ashayana Dean (Anna Hayes - 'Voyagers vol.2 : The secrets of Amenti' - 2002). Les séries numériques ont été révélées par G. Grabovoï ('Les étoiles' - Ed. St-Germain-Morya - 2015). Réalisation sous la guidance de 'l'être intérieur' et infographie : Myrdyn Aéliah - 2019.
5.1.4. La machine ‘Zida’, véhicule de lumière pour la connexion aux ‘Diranna’ et bibliothèques cosmiques.
La machine ‘Zida’ (‘source de la foi’ en sumérien), est mentionnée dans le ‘Livre de Nuréa des Chroniques de Girku’ (A. Parks) comme étant une technologie quantique utilisée par nos ancêtres Mušidim (voir chap. 1), permettant de remonter le temps à travers des tunnels intemporels, sans avoir à se déplacer dans l’espace . Éa’am et Pištés, un couple de souverains mythiques de ce peuple de ‘Faiseurs de vie’, décidèrent un jour de voyager à travers ces ‘wormholes’ pour percer le mystère du vortex situé au centre de la galaxie et comprendre qui était ce peuple mystérieux dénommé Kingalàm, qu’ils combattaient depuis toujours. Ce véhicule de lumière conçu pour ce voyage par les savants de l’époque, avait la forme d’un icosaèdre en cristal de roche provenant de la constellation d’Orion. Cette structure avait une partie centrale fixe et une partie supérieure et inférieure qui tournaient en sens opposé. L’extrême rapidité des rotations autour de la partie fixe et l’élévation de la fréquence vibratoire des 3 parties, générait un champ de lumière contre-rotatif qui alignait les formes sur différents niveaux de réalité et ouvrait des portes sur les dimensions parallèles. Le pilotage de cette technologie s’effectuait sous le contrôle neuronal (pilotage par la pensée), des voyageurs qui œuvraient par binôme comme les deux hémisphères du cerveau. Une intimité (lien émotionnel) unissant ces opérateurs, était considérée comme essentielle car pouvait conditionner les performances du vaisseau. Les conséquences d’une désynchronisation cardiaque ou cérébrale entre ces voyageurs au cours d’un tel voyage neuronal quantique pouvait avoir des conséquences tragiques, comme il est relaté dans l’ouvrage mentionné ci-dessus...’Que la Source pardonne les Mušidim’…
 
La technologie utilisée par le ‘groupe FSV’, respecte globalement les mêmes principes que son illustre prédécesseur, à savoir : une pilotage neuronal, la détermination d’un point d’entrée et d’un point de sortie précis au cours de la génération du champ de torsion établissant le ‘trou de ver’, un objectif conscient et motivé pour effectuer ce déplacement multidimensionnel (voyages ‘pour voir’ ou se divertir, fortement déconseillé), une maîtrise de son émotionnel et une grande capacité à ce centrer énergétiquement. Tous les modus opérandi de la technologie ‘Soliénatus (Mušidim deux-fois nés du Soleil) Zida Machine’ ou ‘SOZIMA’, sont développés dans la partie ‘Les outils opératifs’ de ce site, sur l’onglet : ‘Elohim Project 2.0 : ADN à 12 brins pour tous’. …’Que la Source guide les Soliénatus’…
Le vaisseau de lumière ou machine Zida. Le dodécaèdre et l'icosaèdre représentés sont des 'solides de Platon' correspondant à des états vibratoires du corps Merkaba (véhicule de lumière). La phase finale de cet état étant un corps de lumière totalement déployé, correspond lui à une géométrie sacrée désigné par un 'icosidodécaèdre'. Carte révélée sur la région de Lourdes (Hautes Pyrénées - 65), par 'l'être intérieur' de Maxime Yannaïa. Tracée à partir de sommets de montagnes en février 2016.
La machine Zida des Soliénatus (SOZIMA). Cette technologie neuronale quantique basée sur les mêmes principes de fonctionnement que la machine historique des Musidim, est le moyen utilisé pour se connecter et utiliser les wormholes aux différents points d'entrées terrestres (Diranna) et aux points de sorties cosmiques. Elle permet dans le même temps l'activation et la résurgence des 12 bibliothèques cosmiques pour la nouvelle ère qui se présente - Infographie Myrdyn Aéliah – 2019

5.2. Phase 4 : Accompagnement ontogénétique des Namlu’u 3.

A l’instar des ‘maîtres du jeu’ ou ‘planificateurs originels’, notre vocation est d’orchestrer des réalités puis de les insérer sous forme de formes de vie sur différentes densités, voire de planètes (processus de terraformation en amont). Dans le passé il a été semé et implanté des civilisations entières sur Terre en faisant sortir des êtres des étoiles après les avoir ‘affinés’ pour s’adapter à la lignée génétique des humains. Après avoir conçu ‘le jeu’, les planificateurs créaient l’intégralité des plans de la civilisation pour lui permettre s’épanouir et s’implantaient eux-mêmes dans la civilisation, car Ils savaient que leur civilisation ne serait complète que lorsque leurs propres identités se serait confondues avec la civilisation créée. Ils se retrouvaient ainsi dans la civilisation et la créaient en même temps.

Ce processus d’ontogenèse (développement d’un être, depuis la fécondation de l’œuf jusqu’à l’état adulte), qui a été réalisé par les Kadištu avec l’humanité naissante et leur intégration physique parmi nos ‘peuples premiers’ pour en quelque sorte en surveiller étroitement le développement, représente précisément la phase 4 ‘développement ontogénétique’ du NOIA projet qui est d’ores-et-déjà mis en œuvre avec la nouvelle civilisation Namlu’u. L’accompagnement se fera ici en incorporant nos doubles-avatars parmi les métahumains nouvellement créés (voir si besoin la page ‘Projet AION 2024’ pour la définition de ces termes).

5.2.1. Les structures ‘elfiques’ du projet NOIA dédiées à la phase ontogénétique.
Comme pour les structures d’incubation de la phase 3 précédente, la phase ontogénétique du projet NOIA possède ses propres structures qui varient selon les différentes espèces. Ces espèces bien qu’elles naissent toutes dans le ‘Dôme Poséidia’ (voir représentation plus haut), ont vocation par la suite à se développer sous la guidance de leurs ‘géniteurs/génitrices doubles-avatars et humains incarnés’ dans des environnements particulièrement favorables à leur développement. Une fois leur pleine maturité atteinte, elles auront le choix d’œuvrer pour l’épanouissement de cette civilisation à leur convenance ou de rejoindre la flotte galactique Na’amia Space Fleet, pour l’établissement d’une civilisation galactique qui est un des objectifs du Projet GWS, et devenir eux-mêmes un jour des planificateurs.
 
NOIA est un projet initié à partir de l’eau car c’est l’élément primordial dans la genèse de la vie. A partir de l’incubateur qu’est la Numun Lab, il n’y aura pas cependant que des créatures aquatiques, d’autres créatures correspondant aux lignées génétiques et cosmiques de leurs géniteurs et génitrices se feront jour.
 
Parmi celles-ci, le monde elfique issu de l’élément Air est très présent dans ce processus créatif. Les êtres de cette espèce qui débuteront leur cycle de développement dans le ‘Dôme Poséidia’ dans un premier temps, rejoindront la surface à travers un vortex aquatique (voir représentation au chapitre 2.1.1), une fois atteint le degré de maturité énergétique indispensable. Ils demeureront quelques temps sur Aahinoleeb pour une acclimatation au nouvel environnement ‘terrestre’ (5ème densité), et une présentation des structures de la cité des Namlu’u. Cette présentation générale de la Na’amia Fleet Command qui est l’organe directeur de la flotte galactique Na’amia Space Fleet, est importante car ce peuple Sylphe dénommé ‘Danafae’ (Fées de Dana), comme il a été mentionné plus haut, avec toute la ‘mignonitude’ qui pourra émaner de ces êtres d’inspiration féerique et elfique, auront la possibilité d’œuvrer pour la nouvelle civilisation humano-galactique en devenir à travers cette flotte
Le pavillon 'Iona' est une maison commune où se tiennent les réunions du peuple Elfique et Sylphe 'Danafäe'. Infographie Myrdyn Aéliah - 2019
Le cristal 'Inanna' (cristal 'Vogel' à 144 facettes) surmontant le dôme du pavillon 'Iona' est le registre mémoriel 'akashique' du peuple Danafäe. Myrdyn Aéliah.
Le pavillon 'Iona' surmonté du cristal 'Inanna' scintillant dans la pénombre d'une claire nuit d'été sur 'Avallonia'. Infographie Myrdyn Aéliah - 2019.
La forêt suspendue qui accueille les peuples liés à l’élément Air (Elfes et Sylphe), se nomme Avallonia. Avallonia est une immense forêt primaire suspendue dans les airs contenant des lacs, des sources et une cascade. Cet oasis de paix est supervisé par la races galactiques aviaires représentées par les Kadištu Sukkal ou Avien bleus, au même titre que la race amphibienne des Kadištu Abgal de Sirius supervise les cité aquatiques et le dôme ‘Poseïdia’.  Au centre de cette forêt ‘aérienne’ se trouve Iona, le pavillon des Danafäe, seule structure bâtie de ce peuple ‘élémental’ (esprits habitant les quatre éléments), vivant en permanence en communion avec la nature.  C’est dans ce lieu que se tiennent les réunions et cérémonies sacrées du peuple elfique et sylphe réunis sous le vocable ‘Danafäe’.
'Avallonia', la 'terre suspendue' mythique du peuple 'Danafäe' (communion du peuple elfique et sylphe). On distingue au loin le pavillon 'Iona' surmonté de son cristal mémoriel 'Innana' éclatant et rayonnant sa lumière de jour comme de nuit. Infographie Myrdyn Aéliah - 2019
5.2.2. Les structures aquatiques du projet NOIA dédiées à la phase ontogénétique.
Deux cités aquatiques sont situées à proximité du dôme Poséidia et de la Numun Lab. Ces cités se nomment respectivement ‘Octopalia’ et ‘Néréeys’. Elles ont chacune leurs propres spécificités qui seront développées ultérieurement. Ces cités aquatiques vont permettre aux Namlu’u amphibiens générées pour le projet NOIA, de s’ébattre et se développer dans un milieu préservé et adapté. Ces êtres ont bien sûr au cours de leur maturation énergétique la possibilité de générer eux-même à travers ‘la triple puissance’ ou ‘parthénogenèse quantique’, une propre descendance sur les plans subtils. La cité Aahinoleeb et l’ile Aïon étant également très proches à la surface, ces cités aquatiques et leurs habitants bénéficient de toute la logistique des Namlu’u 4 (doubles-avatars) dédié à ce projet, ainsi que des infrastructures de la flotte galactique Na’amia Space Fleet.
 
Chaque cité à une représentante aquatique sous la forme d’une ‘reine’, c’est à dire la régente de cet espace délimité et préservé des fonds marins. Les régentes actuellement dédiées à cette fonction sont respectivement : ‘Octopia’ pour la cité Octopalia et ‘Ysia’ pour la cité Néreeys. Ces deux êtres de lignée ‘royale’ dans le sens de possesseurs d’une ‘génétique à 12 brins et 24 paires de chromosomes pleinement fonctionnels’, ont chacune généré une descendance sous la forme de jumelles et demi-sœurs : ‘Oania’ et ‘Oaniaya’.
De gauche à droite : Oania, Octopia, Ysia et Onaiaya, les premiers êtres de la lignée aquatique Namlu'u 3 du projet NOIA. Infographie Myrdyn Aéliah - 2019.
5.2.3. La cité Phénixia de l’étoile Thuban.
Cette structure dédiée aux ‘êtres de Feu’ se trouve sur l’étoile Alpha Draconis connue également sous le nom de Thuban. Cette 8e étoile (Lame de la Justice) de la constellation du Dragon par ordre d’éclat, était vénérée par les anciens initiées des ‘écoles de mystères’ comme étant la planète ‘Source’. Elle indiquait il y a 5000 ans le pôle nord céleste à la place de l’actuelle étoile polaire, Alpha Ursae Minoris, de la constellation de la petite Ourse.
 
Selon les ‘registres akhashiques’ captés par les ‘êtres intérieurs’, les ancêtres Mušidim,  furent les premiers habitants de notre univers Nebadon. Ils arrivèrent il y a des temps immémoriaux depuis un autre univers, et s’installèrent dans la constellation du Dragon qui a toujours été considérée comme la maison-mère originelle de ce peuple reptilien (la 13ème bibliothèque vivante cosmique contenant les gènes racines de toutes les espèces vivantes de notre univers).
Les Namlu’u Soliénatus de la cité Phénixia située au cœur de l’étoile Thuban, distante de 310 années-lumière et 250 fois plus lumineuse que le Soleil, sont les seuls à ne pas ‘naître’ dans la Numnlab et le dôme Poséidia, bien qu’ils fassent partie du NOIA Project.
 
Le travail avec la Machine Zida tel qu’il a été succinctement évoqué au chapitre 5.1.4, l’abandon des programmations négatives sur la nature serpentine de l’énergie du féminin primordial, induites par le ‘groupe d’Orion’ (voir Loi Une) à travers entre-autres les religions, et le travail constant de transmutation vers les centres supérieurs de l’énergie de feu située au niveau du bas-ventre, sont des préalables indispensables pour ceux qui aspireraient à générer ce type de lignée.
 
Ce magnifique élément qu’est le Feu, purifie et régénère mais nécessite d’être entretenu et surveillé car il représente l’élément le plus dangereux et le moins contrôlable. Le Feu symbolise l’amour que les mystiques portent à Dieu, l’énergie intérieur appelée Kundalini et l’immortalité qu’obtiennent les alchimistes à travers cet élément transmuté. Le Feu est aussi bien capable de détruire efficacement tout ce qui est corrompu et ‘impur’ (énergies non constructives et disharmonies avec la Source), que tout détruire sur son passage. Tout cela sera développé en son temps sur le site dédié du NOIA project.
La 'Machine Zida' connectée à 'Phénixia. 'Les points d'entrée/sortie correspondent respectivement à Stonehenge/étoile Thuban. La série numérique (Grabovoï), extérieure est celle de la constellation et intérieure, de l'étoile. Nota important : cette connection avec une étoile 250 fois plus puissante que le soleil nécessite d'avoir un 'cablage' psycho-énérgétique adapté. révélations de 'l'être intérieur' et infographie: Myrdyn Aéliah – 2019

6- Conclusion.

Dans ce maelström d’informations se déversant sur le net, nous informant que nous allons subir les pires malheurs avec des tsunamis, des météores, des flashs qui pulvériseront toute notre technologie nous ramenant à l’âge de pierre, etc.  il nous faut raison garder et surtout conserver notre ‘centre’ en étant absolument convaincu que nous sommes les véritables créateurs de notre destin. Il ne s’agit pas de dire que les autres versions de réalité exposées ailleurs ont tort et que nous avons raison, mais juste qu’il existe dans l’espace quantique de nombreuses versions de la ‘réalité’, chacune étant viable avec ses propres objectifs et ses propres intentions. Le temps, l’espace, et l’existence des mondes, n’ont de réalité que dans la mesure où on leur accorde notre attention. Nous avons le choix entre plusieurs Terres, plusieurs chronologies, plusieurs destins, selon notre capacité à ouvrir notre esprit et notre cœur. Quelle que soit votre perception de tout ce qui a été exposé sur cette page et plus globalement sur ce site, que cela soit pour vous ‘ridicule, dangereux ou évident’, l’unique objectif de ce projet de planificateurs ‘assembleurs de vie’, est de nous permettre de tous reconnecter avec notre pouvoir créateur infini, la finalité étant de faire pencher la balance vers la version de la réalité la plus positive et évolutive de tous les scenarii possibles et imaginables existants dans l’espace quantique.

Si vous ressentez intérieurement une forte résonance avec ce projet de ‘génie génétique quantique et virtuel du nouvel âge’, c’est probablement que vous vous êtes incarné dans ce plan terrestre et avez reçu comme la plupart des missionné(e)s, certains gènes récessifs appariés (voir : ‘Elohim Process 2.0’) contenant des codes lumineux  vous permettant de développer des capacités psychiques et intuitives. Ces gènes portent une mémoire qui ont pu vous donner parfois un sentiment de séparation avec les autres, même si vous ne saviez pas forcément l’origine de celui-ci. Avec ces pouvoirs et talents, votre tâche qui a été de construire votre vie et de laisser l’élan vous mener à autre chose que la plupart des humains, vous donne sans aucun doute la possibilité de retrouver cette mémoire effacée et d’agir en intégrant ce qui s’éveille en vous dans cet espace/temps essentiel où les événements peuvent être modifiés.

Chacun d’entre nous a la capacité de tirer la fréquence de la lumière de son propre corps et la disperser sur le plan terrestre.                                                  ‘Nous avons déjà réussi, réussissons chaque jour et allons tous réussir’. MA.

/I\ Non nobis Domine, non nobis sed nomini Tuo da gloriam /I\

Mise à jour du 18/05/2020.